Profil du vin
L’avis de l’équipe
La Flamme de Bouscaut, le second vin, est devenu depuis 2004 Les Chênes de Bouscaut en référence aux chênes centanaires du parc du château. Le même soin est apporté que pour le grand vin, avec un peu moins de fût neuf, mais surtout plus de fruits. Ce 2016 commence à jouer la complexité au nez comme en bouche. Un vin que j'ai adoré déguster aujourd'hui. Pourquoi attendre pour se régaler.
Vin à la robe rubis foncé entre des reflets noirs bleutés et un tout début d'évolution sur une teinte grenat au bord du verre. Belle concentration de matière.
Nez fin et profond, s'ouvrant sur des arômes de cerise, de mûre dans un style confituré. A l'aération arrivent des notes de tabac, de fumé, de toasté et de poivre.
Même trame qu'au nez sur une matière charnue et juteuse, relevée en finale avec une structure plus virile aux tanins fins, réglissés et poivrés.
Viandes rouges grillées ou rôties, magret, agneau, boeuf, rôti de porc forestière, hamburger
Darne de saumon poêlée sauce au vin rouge, calamars à l'encre
Tian de légumes
Brie, Camembert, Cantal jeune, Saint-Nectaire
Les Chênes de Bouscaut
🇫🇷 Cadaujac, franceLe second vin du château Bouscaut, Grand Cru Classé des Graves. Tout d'abord nommé Haut Truchon, il est rebaptisé Château le Bouscaut en 1929 d'après le lieu-dit. En 1979, il devient la propriété de Lucien Lurton, viticulteur déjà bien connu dans la région et propriétaire de plusieurs autres crus. C'est aujourd'hui sa fille, Lucie, qui mène le vignoble avec passion avec son époux Laurent. Le château évolue au fil des années et a obtenu récemment la certification Haute Valeur Environnementale 3.
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